Le Premier Bal De Ce Nouveau Printemps.

Lacenaire déposa les pièces sur le comptoir et réceptionna sa boisson. Il se tourna vers sa voisine. Mais la dame fut interrompue dans ses propos. Il fronça les sourcils et regarda le tavernier dans les yeux.

Et moi je ne vous ai jamais vu ici ! Normal que vous ne me connaissiez pas !

Dit-il d'un ton sec à l'intrus. Puis il se ressaisit et ajouta d'un ton plus aimable.

Je suis Lacenaire, seigneur d'Acropolis !

Il se tourna vers dame Nyméria.

Dites-moi, avec vos talents en langues étrangères, vous feriez une sacrée espionne !

Nyméria tourna le dos au barman pour faire face à la salle, toujours installée sur le tabouret.

- Espionne ?

Elle rit.

Remarque ça pourrait être drôle !
Si ça se trouve en ce moment j'essaye de m'imisser dans votre intimité pour découvrir vos secrets.

Lui fait un clin d'oeil.

La réponse avait été assez inattendu. Le Tavernier n'en revenait pas lui même.

Si j'vous dérange dans la convoitise d'la p'tite dame, faites-le moi savoir hein?

Le tavernier se retourna et se mit à frotter de plus en plus fort ses verres. Quelle réaction. Il ne doit pas être facile à vivre tous les jours ce Seigneur là.

Il fit comme s'il n'avait rien entendu et se tourna vers la dame.

Il sourit au clin d'oeil.

Oui, mais alors, travaillez-vous pour vous ou pour un tiers ?

Qu'est ce que ça peux faire ? La punition sera plus sévére si vous découvrez le piège ?

Se retourne vers le tavernier avec agacement.

Ce qu'il peux être bruyant celui là ! ça vous arrive de laisser les clients s'entendre parler ?

Prend sa choppe puis s'adresse de nouveau à Delduwath.

Où en étions nous ?

Le Seigneur Fouattard était heureux d’avoir pris cette décision.
Depuis que l’on lui avait pris son jouet, il se morfondait dans son manoir.
Il n’avait pas été invité mais il n’avait jamais demandé d’invitation pour entrer chez les autres.

Un bal, cela faisait si longtemps qu’il n’avait pas dansé avec une Dame, vivante.
Ça lui changerait un peu.

Il s’était vraiment pouponné.
Il avait mis son plus beau costume rouge avec un veston noir, bien sur en dessous, il avait rangé ses bébés.
Il avait même sortis son grand chapeau noir avec des panaches rouges.

Il se sentait beau.
Il se sentait puissant.
Il sentait qu’il allait s’amuser.

Il arriva enfin à la taverne des renaissants.
Il poussa la porte brutalement.
Il fit quelques pas, enleva son chapeau et salua les quelques personnes qui s’y trouvaient.

Bonsoir Dames et Seigneurs, je me présente Seigneur Fouattard. Il vit les visages changés à son annonce. N’ayez crainte, je suis venu ici pour danser et étant à ce bal, vos chers bambins pourront dormir à poing fermé.

Il remit son chapeau et se dirigea vers le bar, rien qu’un bon mélange d’alcool pour commençait une bonne soirée.

Un nouveau Seigneur arriva au comptoir.

Que puis-je vous offrir mon bon Monsieur?

J'espère que z'êtes pas aussi peu respectueux que mes deux chers clients à côté.

En lançant un regard à Nyméria et Lacenaire.

Il fut un peu surpris par la réponse de la dame.

Il porta ses yeux également vers le tavernier et regarda la dame dans les yeux.

Nous parlions de vos penchants à manipuler les gens ! Dois-je comprendre que vous l'auriez déjà fait pour le compte d'autres personnes ?

Il but une gorgée de gratsch, ce qui le fit entendre la phrase du tavernier. il haussa les épaules et reposa bruyamment son verre sur le comptoir.

Le tavernier ne pu s'empêcher de réagir lorsque le Seigneur Lacenaire reposa violemment le verre su le comptoir.

Mais faites un peu 'ttention!

Ces verres coutent une petite fortune!



HRP : Le tavernier a décidé d'être chiant

Rhuoble ayant entendu qu'un bal s'organisait dans le royaume des Renaissants, il se dit que ça ne serait pas une mauvaise idée de s'y rendre.
Mais avant tout, il devait trouver une cavalière et une tenue. Il envoyait donc une invitation à une Dame avec qui il aimait passer du temps.

Ce préparant au bal, rhuoble mit son armure de parade d'une couleur rouge pourpre, une cape blanche, un petit couteau dés fois qu'il y aurait un assassin dans toute cette foule.
Une fois habillé, il descendit alors les escaliers, monta sur son chevak et allait au galop vers la contrée de son amie en question.

Arrivant dans la ville de son alliée, rhuoble se dirigeait vers le palais. Entrait et allait toquer à la porte de la renaissante.

-Etês-vous prête ma Dame ?

La guerrière ouvrit la porte et rhuoble ne pu que constater la beauté de la Dame.
Ils firent donc route vers le bal qui devait dèja avoir commencer. Et aprés un trajet plus ou moins court, arriverent à la reception du bal.
Ils entrerent alors, rhuoble aperçu alors plusieurs de ses compagnons d'armes et aussi quelques personnes qu'il avait pu rencontrer auparavant.
Dont le seigneur Fouettard, rhuoble ne put s'empecher de s'approcher de lui.

-Alors vous avez réussi à vous liberer de lien à ce que je vois! avec un grand sourire.

-Je vois que vous n'êtes pas accompagner, j'éspere que vous allez vous amuser à ce bal!

Rhuoble continua son chemin, toujours accompagner de son amie. Ce retournant vers elle.

-Je vous offre quelques choses à boire ma Dame?

Visiblement Lacenaire avait découvert que Nyméria l'avait espionné autrefois pour le compte d'Argawaen et cherchait à lui faire cracher le morceau.

Nyméria cessa de sourir et rendit son regard à Delduwath :

- Où voulez vous en venir mon ami ?
Bien sur que... Elle regarda autour d'elle, s'approcha de Deldu et baissa la voix de façon à que lui seul l'entende ...j'ai mes informateurs et je vous en ai déjà fait profité il me semble l'or de cette vieille histoire de rebélion.
Quand à la tournure qu'on prise le événements, j'ose espérer que vous ne m'en tenez pas pour responsable !

Il jeta un regard noir vers le tavernier puis se concentra sur dame Nymeria qui venait de lui chuchoter à l'oreille.


Et bien, après cette discussion, je me pose quelques questions... m'enfin soit! Ne ressortons pas les vieilles affaires !

Allez santé! Et amusons-nous plutôt !

Il leva son verre en direction de la dame.

La nuit était belle.
Aucun nuage dans le ciel.

Je leva la tête quelque instants et aperçu dans le ciel un nombre incalculable d'étoiles.
Voila une bien étrange chose que l'univers. Personne n'y est jamais allé et pourtant on connaît aujourd'hui beaucoup de chose à son sujet.
Dans d'autres circonstances, j'aurais sûrement passé toute la nuit à observer les mouvements des étoiles. Ces petits points lumineux qui en réalité étaient d'immenses sphères.

Mais pas ce soir...

Comment passer du bon temps avec toutes mes préoccupations ? oui c'était inconcevable. Il ne me restait plus qu'à rentrer chez moi, et boire, boire jusqu'à tomber ivre mort.
Peut être est-ce là la seule façon d'oublié un passé. Un passé qui depuis bien trop longtemps revient sans cesse dans mon esprit et qui me ronge de l'intérieur.

A mon grand étonnement je commençais à avoir des pertes de conaissance durant un laps de temps très court.
Quand la fatigue nous tient...
Je me rappelais il y a moins d'un cirfeux j'étais en pleine forme alors que maintenant... je ne ferai pas le poids face à un enfant.

Est-ce la faute de la nostalgie ?
Est-ce la faute de mes ennemis ?
Est-ce la faute de LeFaucheur ?

Peut être oui, même probable.
Quoi qu'il en soit je décida de me laisser faire, et de ne pas me battre contre la fatigue.
La fatigue qui s'en sortirait sans aucun doute vainqueur.
Je m'endormis donc, guidé par mon chevak, qui, j'en étais sûr trouverait tout seul le chemin de son écurie.

Lorsque mon chevak s'arrêta progressivement je ne m'en aperçus pas, tellement le rêve que je faisais était agréable. Quand je repris connaissance, je crus quitter le monde des rêves pour celui des cauchemars : voila que mon pire ennemi, LeFaucheur me faisait face.

Réalité ou fiction ?

Refusant d'y croire j'opta pour la deuxième solution. Malheureusement en ouvrant d'avantage les yeux, je dus me rendre à l'évidence, LeFaucheur était bel et bien devant moi, mais... pourquoi ?
La réponse ne se fut pas attendre...
Encore à moitié endormi, je fis mon possible pour donner une réponse distincte.

- Qu'on discute ? je vous écoute.

A ce moment je descendis de mon chevak et me tins debout prés ce dernier la main sur la paume de mon épée, prêt à dégainer.
Lui faisant face, j'essayais tant bien que mal à pénétré dans la tête de LeFaucheur afin de voir ce qu'il manigancer.

Il y a longtemps qu'elle n'était plus sortie de l'auberge de la Confrérie pour d'autres raisons que la diplomatie. La plupart de ses alliés étaient partis en mission et elle devait l'avouer, elle s'ennuyait ferme.

Elle avait entendu parler du bal qui se donnait en terres Renaissantes, mais avait choisi de ne pas y aller. Elle avait décidé d'espacer ses visites sur leur territoire dernièrement et n'Avait jamais accepté d'autres invitations que celles de son allié, Baldrik.
Pourtant celle qu'elle venait de recevoir tombait à pic. Cela lui permettrait de se désennuyer un peu et de se changer les idées.
Elle accepta donc.

Alors qu'elle finissait à peine d'enfiler la robe vert émeraude qu'elle avait choisie pour l'occasion, on vint la prévenir que le cheval de son cavalier de la soirée venait de passer les grilles de sa demeure.
Elle noua donc rapidement sa longue tignasse rousse d'un simple ruban, assorti à sa robe, et se dépêcha de descendre ouvrir la porte afin de ne pas le faire attendre.

Elle remarqua que le Seigneur avait fait un effort sur sa tenue et avait abandonné son armure de combat à cette occasion. Elle en fût flattée, surtout que celle-ci lui seyait à ravir.

La route fût brève et bientôt ils arrivèrent à destination.
Le Seigneur salua quelques connaissances puis s'adressa à un Seigneur à l'air légèrement inquiétant, dont elle ignorait l'identité.
Elle en profita pour examiner l'endroit qui avait été rafraîchis depuis son dernier passage.
Cela lui fit penser que l'auberge de la Confrérie aurait tout à y gagner à subir le même traitement. Un léger sourire effleura ses lèvres l'espace d'un instant lorsqu'elle tenta de s'imaginer la tête d'Argawaen en voyant les rideaux roses bonbon qu'elle comptait accrocher aux fenêtres.

Ils arrivèrent bientôt près du comptoir où elle reconnu son ancien allié, accompagnée de Dame Nyméria.
Le Seigneur Rhuoble se tourna vers elle et elle lui répondit, en rougissant.


Je prendrai bien un kalafé s'il y en a et si cela ne vous gênes pas.

Il était descendu de son chevak. Je fis de même.

Je le sentais prêt à me foncer dessus. Comme pour abréger notre opposition. J'étais sans défense, ne portant aucune arme sur moi. Quelle erreur.
Je savais avec qui j'allais discuter, et je n'avais même pas pris la peine de prendre ne serait-ce qu'un poignard.

Je ne savais pas par où commencer. comment lui annoncer que nous devrions arrêter de nous quereller. Et que cette querelle fait du tort au deux camps?
Je me souviens très bien de nos nombreuses discussions, sur la table des Renaissants. Jamais les mêmes idées, toujours là à donner moins d'importance aux idées de l'autre, comme si nous ne pouvions pas nous accorder un seul instant, comme des aimants qui se repoussent.

Mais nous devions cessez cela. Nous avions des rôles bien trop importants dans la Société du Nouveau Monde pour agir comme des gamins. Oui, faisants parti des principaux Seigneurs de ce monde nous devions arrêté d'agir de la sorte.

Mais par où commencer?
Je ne savais pas du tout. J'avais décidé de ne pas tenir compte des différents qui nous partageaient avant son départ. Oui, car ce départ avait été motivé par notre opposition justement, mais pas l'ensemble de mes réactions, par celle que j'ai eu à la toute fin. Avant qu'il ne s'en aille.

Je décidais donc de lui demander pourquoi il me tenait autant rigueur.
La réponse avait été claire. Et je pense, que sur le coup, j'ai été assez étonné, mais aussi surpris par ma propre réaction lors de son départ.

HRP : Je vous épargne la discussion MSN, passons aux choses qui nous intéresse.

Après une longue discussion, je fus contraint par le respect que je me devais à moi même et à Thranduil de m'excuser au près de ce dernier.
Car il est vrai que le jugement que j'ai eu a son égard n'était pas des plus justes.

Les mots eurent du mal à sortir, c'était surement la première fois que j'allais prononcer ces mots.

Je te prie Thranduil d'accepter mes excuses pour avoir eu un jugement trop hatif sur ton compte.
Et je me rends compte aujourd'hui que j'ai été ridicule.
J'espère que tu oublieras tout comme moi ces incidents. Car ces choses là ne valent pas la peine d'être remémorées.

Sur le chemin du comptoir, un seigneur l’accosta et lui dit une phrase incompréhensible et lui souhaita de s’amuser.
Il ne rappelait plus où il l’avait vu mais sa tête lui disait quelque chose, un ami ou un ennemi.
Il toucha ses bébés, un ennemi, toute façon, il n’avait pas d’amis.
Le Seigneur Fouattard arriva au comptoir.
Il fut accueilli aimablement par le barman.
Toutes ses politesses commençaient à lui donner la nausée.
Il ne devait pas avoir de mauvaise pensée.
Allez Fouattard, montre que tu peux être un tout petit civilisé. S’encourageait-il.
Demain, tu pourras étriper, massacrer, égorger tant qu’il te plaira.
Il regarda le barman et lui dit.

Mais, je suis toujours respectueux, mon brave, avec les vivants et encore plus avec les morts.

Il regarda les bouteilles derrière le comptoir.

Tu vas mettre une lampée de la bouteille bleu, 2 lampée de la rouge et 1 petite de la jaune et mélange bien le tout. Je vais commencé par quelque de léger et de sobre pour le premier verre et ne pas perdre la tête dés mon arrivée en ces lieux.

Il regardait le barman composé sa mixture.

Et n’oublie pas de mettre une petite olive, il ne faudrait pas oublier les petits détails, je suis très pointilleux sur les détails. Dit-il avec un sourire ironique.

La réponse de Dame Mirelen, l'étonnait un peu.

-Cela me dérange en aucun cas!

Il se retournait alors vers le tavernier pour prendre la commande et en profitait pour saluer Delduwath et Nyméria.

-Tavernier, un kalafé pour la Dame et pour moi une gratsch!

-Vous pouvez aussi reservir ce seigneur et cette Dame!

-Est ce que c'est normal qu'il n'y est pas de musique? demanda t'il au tavernier

Les nouveaux arrivants signifiaient pour le tavernier de nouveaux clients.

Tandis qu'il concoctais le coctail pour le Seigneur qui était seul, il reconnu une voie qui lui était familière.
Rhuoble. Il savait qu'il serait de la partie.

T'nez Monsieur. Il tendit le verre et mis vite une olive avant qu'il ne puisse ajouter quelque chose.

Il alla ensuite préparer un kal-ha-fé et une choppe de gratzch pour Le Seigneur Rhuoble.

Quand il lui tendait sa commande, il murmura.

Z'êtes sur que je dois les resservir? Sont pas très respectueux envers le matériel d'la maison.

Bah, sont pas encore arrivé. Mais ils vont m'entendre en tout cas!!!

Kiarra rentra, avec Thane. Le voyage avait était court. Elle grimaça devant le monde. Personne de sa connaissance à première vue. Au moins le seigneur qui l'accompagnait était à première vue charmant et sympathique. Elle se tourna vers lui.

Et bien, je ne connais pas grand monde, donc si vous avez ici des amis à saluer...

Cela ressemblait plus à une réunion de seigneurs pour le moment, chacun dans un groupe, et surtout sans musique.

Souriant, quand le tavernier lui demanda de confirmer sa commande.

-Vous pouvez, si il faut je rembourserais tous objets détruit.

Et se retournant vers Delduwath et Nyméria.

-Alors comment allez vous depuis notre dernière rencontre?

Vous prenez des risques...

Il se retourna vers le Seigneur dont il ne connaissait pas encore l'identité, pourtant il était sur qu'il s'était annoncé.

S'cusé moi, vous pouvez m'rappelez votre nom?

Elle remercia le Seigneur Rhuoble et prit la tasse fumante qu'il lui tendait.
Elle écouta ensuite la réponse du tavernier au sujet de la musique.
Il était en effet étonnant qu'un bal se retrouve sans musiciens.

Elle se demanda si quelques uns des convives savaient jouer d'un instrument, dans l'éventualité où les musiciens engagés ne se présentaient pas.
Sinon, le bal risquait fort d'être ennuyant, voir écourté.

Elle se retourna et examina plus attentivement les invités. Certes disparates, certain semblaient à leurs aises, tandis que d'autres lui donnaient l'impression de pingouins se baladant en plein désert.
Elle admira les tenues des Dames Renaissantes qui les avantageaient, découvrant toute leur féminité trop souvent camouflée par les encombrantes armures de combat.
Même les Seigneurs avaient revêtu de beaux habits. Elle eut même parfois du mal à en reconnaître quelques uns.

Elle du cependant s'admettre sa déception de ne pas voir l'un de ses alliés. Elle savait fort bien pourtant que ce n'était pas son genre de se montrer à de tels événements et elle dcida donc de rapidement chasser cette pensée avant que celle-ci assombrisse son humeur.
Elle reporta son attention sur les gens près d'elle qu'elle salua d'un léger hochement de tête.

Dame Nyméria, Seigneur Delduwath, c'est un plaisir de vous revoir un et l'autre.

Puis se tournant vers le tavernier
Qu'arrivera-t-il si les musiciens ne viennent jamais ? Le bal ne risque pas d'avoir lieu.
À moins, Elle rougit que vous n'ayez d'ores et déjà pensé une solution ?

Les dernières guerres se terminèrent enfin et je fus déjà sur la route pour revenir auprès de mon alliance, je pris la décision de ne pas repasser par mes terres et me rendit directement et encore vêtu de mon armure de guerre ensanglanté dans la ville de mon alliance .Arrivant à l‘entrée de la ville les gardes habituels me saluerent et me demandèrent des nouvelles de mes batailles et cet avec grand plaisir que je leurs annonçais le début d’une période calme. je me rendit ensuite à l’auberge pour apprendre les dernières nouvelles de la région et se fut avec un grand étonnement que j’appris le lancement du bal .

- un bal ? La ponctualité va me faire défaut si le début est pour ce soir.

Un client me rétorqua

-Pour le retard ce n’est pas un souci mais essayer d’avoir une autre tenue que celle de vos combat.

Je lança un regard sur l’armure bosselé qui avait la couleur du sang qui avait sécher.

-oui en effet c’est quelque chose que je n’oserai pas faire .

C’est alors que je me rendis tout de suite dans ma chambre ou je gardais toujours mon armure de cérémonie qui me servait pour les réunion importantes. Et c’est avec un regard embarrassé que je vis mon armure toute poussiéreuse et qui avait perdu toute sa brillance et son éclat d’autrefois. Comme je n’avais aucun écuyer avec moi je dut nettoyer moi-même et se fut avec une grande satisfaction du résultat , l’armure éblouissait de toute sa couleur dorée ou deux belle gravure qui représentait des têtes de tigres ressortait des épaulières. Je m’empressais de mettre l’armure où pendait sur le torse un tabard toute blanche avec le contour représentant des roses bleues, et par-dessus une cape en velours bleu nuit recouvrant la totalité de l’armure.
Sortant de l’auberge mon chevak était la à m’attendre, après l’avoir monter je le mis au galop pour rattraper mon retard. Arriver à la salle de bal je remarqua déjà plusieurs calèches le long de la rue et c’est en mettant pied a terre devant l’entrée que j’entendis la foule et m’aperçu qu’il n’y avait pas de musique.

-ça va, je suis pas le dernier !

J’ouvris les portes et je fus ébloui par l’intensité de la lumière qui se reflétait sur mon armure. Je me rendit directement au bar ou mon frère d’arme Rhuoble était déjà accoudé. Je saluais les seigneurs et les dames se trouvant sur mon chemin . Arrivé au bar je bousculais Rhuoble pour lui montré ma présence et je cria au tavernier :

-EEHHH TAVERNIER IL ME FAUDRAIS DEUX COUPE ET UNE BOUTEILLE DE VOTRE MEILLEUR SHAMPAGN .

Je repris vers Rhuoble

-je n’aime pas fêter les victoire tout seul.